18 juin 2013, par Claudie Hunzinger
L’exposition Wanderung / Promenade sera inaugurée le jeudi 27 juin 2013 au CEAAC et le dimanche 30 juin à la Städtische Galerie d’Offenburg.
Le CEAAC et la Städtische Galerie d’Offenburg ont le plaisir de s’associer et de proposer ensemble une exposition intitulée Wanderung / Promenade, rassemblant 25 artistes français et allemands répartis sur les deux lieux d’exposition.
Artistes présentés à la Städtische Galerie d’Offenburg
Patrick Bailly-Maitre Grand Diethard Blaudszun M. Dréa Pierre Filliquet (...)
7 juin 2013, par webmestre
Créé en 2000 par Paule CONSTANT, qui en assure la présidence, le CENTRE DES ÉCRIVAINS DU SUD - JEAN GIONO a pour vocation de promouvoir, à travers des manifestations littéraires, la littérature française et francophone contemporaine. Madame Sylvie Durbet-Giono, fille de Jean Giono, est présidente d’honneur du Centre. Monsieur Michel Déon, de l’Académie française, préside son comité culturel.
Ce prix littéraire, organisé par Le Centre des Ecrivains du Sud – Jean Giono couronne un roman de la rentrée (...)
7 juin 2013, par webmestre
Realisation : Anne (Maurel ) Delachapelle Image : Daniel Coche Son, mixage : Bruno de Chenerilles Montage : Ariel Waksman Producteur délégué : Daniel Schlosser Centre Régional D’Art contemporain, Agence culturelle d’Alsace 1990
21 janvier 2013, par webmestre
http://pierreahnne.eklablog.fr/la-s...
J’ai dit ici tout le bien que je pensais du livre de Claudie Hunzinger, La Survivance ( La Survivance, Claudie Hunzinger (Grasset) ). Si l’auteur n’a jamais, à ma connaissance, été libraire comme les personnages de son roman, elle a bien vécu en montagne, « près de tout », c’est-à-dire dans l’inconfort et l’exaltation. En témoignent Bambois, la vie verte (Stock, 1973) ou Les Enfants de Grimm (Bernard Barrault, 1989). Parallèlement à l’écriture, elle mène une œuvre (...)
14 novembre 2012, par webmestre
http://www.republicain-lorrain.fr/a...
Des vauriens. C’est ainsi que Jenny et Sils se définissent. Et quand ils se regardent l’un l’autre, c’est avec une infinie tendresse. Vauriens, ils l’étaient déjà quand ils se sont connus, au lycée. Elle avait dix-sept ans et lui « l’insolence sous la langue, la rébellion dans le sang ». C’est d’ailleurs lui qui l’avait surnommée Jenny, comme la fiancée du pirate chère à Brecht. Des taugenichts donc, des vrais, et rien ne s’était arrangé avec le temps, pas même le cap (...)